Pourquoi tant de gens rêvent
de tout plaquer
et de changer de vie en famille ?
Voilà comment y arriver vraiment.
Tu crois être libre ?
Ah, qu’est-ce qu’on est bien chez soi ! Enfin posé !
Mais avant le repos du guerrier, tu t’es encore coltiné une dure journée marathon, entre amener les enfants à l’école, filer au boulot, supporter ton chef « je sais tout » mais qui en sait bien moins que toi, enfiler ton repas de midi en 20 minutes pour finir cette tâche au délai bien trop court, repartir fissa direction l’école pour récupérer les gosses, sans oublier de passer par la case « bouchon » !
Mais attend, c’est pas fini : il te faut encore faire le repas avant que tes enfants ne mangent les meubles (c’est vorace ces bêtes-là 😵), les faire manger, te battre pour qu’ils finissent leurs devoirs, qu’ils filent à la douche et surtout au lit. Et te voilà ENFIN posé tranquille dans ton canapé !
Tu l’as mérité ta liberté !
Te voilà enfin libre de choisir ton programme Netflix, libre de réfléchir à ta prochaine destination de vacances, libre de décider quoi faire ce weekend.
Mais épuisé, tu es surtout libre de fermer les yeux…et de t’endormir comme une 💩 dans ton canapé !
Ce quotidien-là, tu l’as accepté sans le remettre en question, parce que tout le monde vit comme ça.
Parce qu’on t’a dit que c’était ça, la vraie vie.
Et demain, rebelote… La cage est dorée et confortable, mais elle reste une cage…
Si tu es bien dans ta cage, continue comme ça, le bout du tunnel est juste là 👉 (arrête de regarder le bout de mon doigt !).
C’est le petit point lumineux, là-bas, tout au fond qui s’éloigne au fur et à mesure que tu avances.

Mais continue, on t’a dit que c’était la seule voie possible !
Nous, on a appuyé sur pause, on s’est arrêté en plein milieu du tunnel et avons pris cette porte « Exit », qui s’est transformée en « Reset ».
En 2022, on a quitté notre maison, notre boulot, notre confort pour vivre en voilier autour du monde avec nos deux enfants. Sans date de retour. Pour changer de vie en famille !
Et non, on n’est pas riches, ni inconscients. Juste décidés à vivre pour de vrai, pour nous !
(si tu veux en savoir plus, sur le pourquoi et le comment, c’est par ici)
Et pour la petite histoire :
Au début aussi on croyait ce rêve de tour du monde en famille utopique ! Et pourtant, on n’est pas seuls. Depuis qu’on a embarqué, on a rencontré des dizaines de familles qui vivent en voilier ou en van, avec leurs enfants. Toutes disaient au départ : « On n’y arrivera jamais. »
Mais c’est bien en vraie famille nomade qu’on les a connues ! Elles ont toutes réussi à changer de vie en famille ! Comme nous… et comme TOI, si tu le souhaites !
Une vie bien rangée… jusqu’à l’étouffement
La routine, c’est sécurisant. C’est propre, c’est stable, c’est connu.
Mais c’est aussi là qu’on meurt à petit feu.
Lundi matin, 6h : réveil qui hurle. T’as mal dormi, t’as pas envie, mais faut y aller quand même !
Métro-boulot-devoirs-ménage
Le tout à répéter 48 semaines par an.
Et quand vient le samedi, on te dit « allez, profites-en bien ! »
Mais… profiter de quoi, au juste ?
D’un petit répit avant de replonger ? D’un apéro pour oublier qu’on recommence lundi ?
Le plus fou, c’est que cette routine-là, ce métro-boulot-dodo bien huilé, on te le vend comme une réussite.
T’as une maison achetée (à crédit sur 25 ans), un CDI, des enfants bien scolarisés, une voiture rutilante (en LOA bien sûr).
Et la société te tapote l’épaule avec un grand sourire :
« Bravo, t’as réussi ta vie ! »
Mais moi, j’y vois surtout une camisole beige, que tout le monde porte sans broncher.
On l’appelle « sécurité », « stabilité », « normalité ». Mais c’est juste une cage dorée avec le wifi.
Et le pire ?
C’est que cette vie-là étouffe doucement tes rêves, en t’expliquant qu’ils n’étaient pas raisonnables.
Que c’était de la jeunesse, de la naïveté, du délire de liberté.
Qu’il faut « rentrer dans le rang ». Être adulte. Responsable. Sérieux. Fatigué.
Mais comme l’a dit Coluche (merci à lui d’avoir mis les pieds dans le plat) :
« C’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison. »
Et si…
➡️ c’était tout ce système qui était à côté de la plaque ?
➡️ cette « vie bien rangée » était surtout une grande illusion collective qu’on perpétue pour ne pas se sentir seul à s’ennuyer ?
➡️ le vrai courage, ce n’était pas de suivre le troupeau… mais d’oser s’en écarter ?
Changer de vie en famille : ce n’est pas fuir, c’est respirer
« Partir, c’est fuir tes problèmes. »
Combien de fois on l’a entendue, celle-là ?
Sous-entendu : t’es un lâche. Un irresponsable. Un rêveur qui ne veut pas affronter la réalité.
Mais non, changer de vie ce n’est pas fuir, c’est juste refuser de se laisser bouffer.
Refuser…
➡️ ce système qui t’enferme dans des cases, qui épuise ton énergie pour mieux nourrir la machine
➡️ de passer tes plus belles années à courir après le week-end, à collectionner les heures supp comme des trophées
➡️ l’accumulation sans fin : des objets, des contraintes, des crédits, des « il faut » et des « t’as pas le choix »
Mais changer de vie, ce n’est pas tout envoyer valser sur un coup de tête.
C’est oser mettre sa vie sur pause, observer ce qui ne va plus, et reconstruire autrement.
Avec du sens. Avec de la cohérence. Avec de l’air.
Ce n’est pas fuir, c’est respirer, c’est enfin prendre le temps.
Et se rendre compte que ça faisait longtemps qu’on ne l’avait pas fait.
C’est choisir une vie plus simple. Plus alignée.
Une vie où tes priorités ne sont plus dictées par ton agenda Outlook.
Où ton réveil, c’est le soleil qui entre dans ta cabine, pas une alarme qui t’arrache au sommeil.
Où tes enfants te voient sourire pour de vrai, pas juste le week-end entre deux corvées.
Chez nous, les visioconférences ont été remplacées par les couchers de soleil en mer.
Les embouteillages, par des navigations tranquilles.
Les to-do listes stressantes, par des parties de Uno ou de Skipbo à rallonge.
Et les « objectifs trimestriels » par un seul but : être ensemble et heureux.

Est-ce que c’est facile tous les jours ? Oh que NON !
Mais est-ce que c’est vivant, vibrant, vrai ? oh que OUI, mille fois OUI !
Changer de vie en famille, ce n’est pas une fuite. C’est un acte de courage.
C’est dire stop au pilote automatique et reprendre le volant de son existence.
Parce qu’on n’a qu’une seule vie.
Et qu’il serait peut-être temps de se demander si on est en train de la vivre… ou juste de la supporter.
Mais pourquoi si peu osent sauter le pas ?
Un mot :
😱 la peur ! 😱
Pas la grande terreur panique. Non. Une peur plus insidieuse, plus douce, presque rassurante, mais sournoise.
Celle qui te murmure à l’oreille : « Et si tu te plantais ? Et si c’était pire après ? »
Et elle est balèze, cette peur, parce qu’elle prend plein de visages.
On en a listé 10 dans un guide de 36 pages qu’on t’offre avec grand plaisir !
Il te suffit juste de cliquer dessus 👉
Mais en attendant, en voici quelques-unes :
Et le plus ironique dans tout ça ?
La plupart des gens attendent la validation de ceux qui n’ont jamais osé eux-mêmes.

Ils veulent un feu vert de la société, des parents, du banquier, du chef de service, sans oublier celui de l’oncle Patrice.
Mais le feu, il reste rouge… tant que TOI, tu n’appuies pas sur l’interrupteur.
Changer de vie en famille fait peur, oui !
Mais continuer à s’écraser tous les jours ? Ça, c’est beaucoup plus terrifiant !
Ce qui est fou dans tout ça, c’est qu’on pensait être une exception.
Mais depuis, on a échangé avec des familles de tous profils – solo, recomposées, en télétravail ou en reconversion, retraité ou même très aisé.
Toutes ces familles, d’où qu’elles viennent, ont osé changer de vie malgré les doutes et les peurs.
Le vrai risque n’est pas de changer
Le vrai risque, c’est de rester figé, à attendre un feu vert qui ne viendra jamais.
Et toi, t’attends quoi pour vivre ta vie ?
Ce qu’on gagne vraiment à changer de vie en famille
Avant notre départ, on nous demandait souvent : « Mais vous n’avez pas peur de tout perdre ? »
La maison, le CDI, le confort, la routine rassurante…
Mais maintenant, personne ne nous demande ce qu’on a gagné.
Et pourtant, c’est là que tout se joue :
Du temps, le vrai luxe
Pas cinq minutes grappillées entre les courses et la tonte du gazon, ou un dimanche en apnée avant la reprise.
Non ! Non et non !
Du temps long. Du temps large. Du temps ensemble.
Des matins sans réveil. Des repas qu’on prend sans se presser. Des discussions qui durent. Des silences partagés. Des apéros improvisés sur la plage ou ailleurs.
Le genre de temps qui ne s’achète pas.
Le genre de temps qu’on regrette souvent… trop tard.
Des enfants qui brillent de l’intérieur
(Même si leurs bêtises ne sont pas toujours lumineuses…)
Pas des petits robots qui enchaînent école, devoirs, écrans et dodo.
Des enfants curieux, qui posent mille questions, qui s’étonnent d’un poisson volant ou d’un marché local.
Des enfants qui connaissent les poissons, les plantes, les saveurs locales… et les rencontres imprévues.
Qui apprennent à s’adapter, à coopérer, à s’émerveiller.
Bref, qui vivent leur enfance, au lieu de la traverser en pilote automatique.
Une vie plus légère, mais tellement plus intense
- On a moins d’objets, mais plus de souvenirs.
- Moins de factures, mais plus de rencontres.
- Moins d’habits, mais plus de soleil sur la peau.
- On ne court plus après le temps, on le savoure.
- On ne coche plus des cases, on remplit nos journées.
Alors non, notre vie n’est pas parfaite.
Il y a des galères, du vent qui te gifle, des nuits hachées quand ça tape un peu fort.
Il y a les réparations à faire à l’improviste (ça pète toujours au mauvais moment), l’eau à économiser, l’Internet qui plante.
Mais il y a aussi nous. Plus soudés que jamais.
On s’engueule, on se marre, on doute, on avance.
On est vivants, pas juste fonctionnels.
Et tu sais quoi ?
C’est peut-être ça, le vrai luxe :
Pouvoir se coucher le soir en se disant :
« Aujourd’hui, ce n’était pas parfait. Mais c’était la vraie vie… Et c’est tout ce qu’on voulait !»
Comme tu peux le voir, on n’est pas des héros. Juste une famille comme les autres qui en avait ras-le-bol de courir après une vie qui ne lui ressemblait plus.
Et le plus beau dans cette vie-là ? C’est qu’on n’est pas seuls à en profiter.
À chaque mouillage, on retrouve d’autres familles qui, comme nous, ont troqué la routine contre la liberté.
Alors si tu te surprends à rêver d’autre chose… ce n’est peut-être pas un hasard 😉 !
Comment on a fait (et comment toi aussi, tu peux le faire)
Non, on n’a pas gagné au loto (bien que changer de vie en famille est un gros lot)
On n’a pas non plus hérité d’un oncle millionnaire en slip sur un yacht ancré à St-Barth.
Bien qu’on aurait pu, on n’a pas tout plaqué du jour au lendemain sur un coup de tête romantique (comme tu peux le voir ici).
Non, on a bossé. Sérieusement. Parfois jusqu’à tard. Parfois en doutant.
Mais toujours avec ça en tête : vivre mieux, changer de vie ensemble, en famille !
Et pour cela, il n’y a pas 4 chemins ! On a :
- Réduit nos charges.
- Arrêté d’acheter du superflu (Avant chaque achat, on se posait LA question : est-ce que ça vient sur le bateau ? Non ? Hop, reposé direct)
- Mis à plat nos dépenses, nos rêves, nos vraies envies.
- Et surtout… on a arrêté de se mentir.
Parce qu’au fond, la bonne question, ce n’est pas :
« Et si ça rate ? »
Mais plutôt :
« Et si on ne le faisait jamais ? Et qu’on le regrette toute notre vie ? »
👉 C’est là que tout a basculé.
Et aujourd’hui, on peut te le dire : oui, c’est possible.
Pas facile. Pas magique. Mais possible.
Mais alors, comment on gagne sa vie en voyage ?
Facile ! On demande au tonton millionnaire en slip à St-Barth !
Mais non petit rigolo!
Il existe des dizaines de façons de gagner sa vie autrement.
On t’a mis tout ça en détail dans l’article : Gagner sa vie à distance ? Oui, mais comment ?
Mais vu qu’on est sympa et que tu n’as pas encore fini de lire cet article, voilà quelques exemples de ce que tu peux faire :
- Travailler en freelance depuis n’importe où (avec du Wi-Fi et un peu de café)
- Vendre des formations, partager ton expertise
- Créer un business nomade (coaching, e-commerce, accompagnement…)
- Et plein d’autres
Bref, ta liberté n’est pas un rêve inaccessible.
Elle commence par une décision. Pas un miracle. Une DÉ-CI-SION !
Celle de dire :
Stop. J’en peux plus de cette vie qui ne me ressemble pas.
Je veux autre chose. Et je vais me donner les moyens !
Est-ce que ce sera facile ? Non.
Mais tu sais quoi ? la vraie question n’est pas : Combien ça coûte de changer de vie ?
Mais : Combien ça coûte de ne pas la changer ?
Mieux vaut avoir des remords que des regrets
Qu’est-ce qui est pire ?
Rester là, frustré, avec un « peut-être un jour » coincé dans la gorge ?
Se réveiller à 60 ans en se demandant où est passée ta vie ?
Ou bien… essayer. Prendre le risque. Te planter peut-être. Te relever sûrement.
Mais savoir, au fond de toi, que t’as osé vivre.
Oublie la routine !
Si tu ressens cette envie qui gratte de l’intérieur, cette petite voix que tu t’efforces de faire taire, ce n’est pas un caprice. C’est ton « toi profond » qui crie pour de l’air. De l’espace. De la vérité.
Alors pose-toi une seule question.
Celle qui change tout :
Est-ce que je vis une vie choisie… ou une vie subie ?
Nous, on a fait notre choix.
Et crois-moi, on ne le regrette pas une seconde (comme toutes les familles qu’on a rencontrées d’ailleurs !)
Prends ton destin en main, tu es attendu là où la vraie liberté commence :
Pas dans les palmiers ni sur une carte postale, mais là où tu redeviens acteur pour changer de vie en famille !
Et cela, ne dépend que de TOI… et de ta famille 😁!
Et vu qu’on est passé par là, on peut te filer quelques bons tuyaux.
Tu veux savoir comment on a préparé tout ça ?
Comment on a géré l’école, l’argent, les peurs, les galères, les “vous êtes fous” ?
Et surtout… comment toi aussi tu peux faire pareil, à ta façon ?
➡️ Clique ici, on t’embarque.

Tu mets vraiment le doigt là où ça fait mal : la routine peut être notre plus grande prison.
Le passage :
« Une vie bien rangée… jusqu’à l’étouffement » est percutant.
Il révèle à quel point le métro-boulot-dodo anesthésie nos envies.
Merci pour ce déclic honnête et inspirant :)
Merci Rémi pour ton commentaire ! Effectivement tu as parfaitement raison, le fameux métro-boulot-dodo anesthésie complètement nos envies ! Mais l’important est de s’en rendre compte avant qu’il soit trop tard. Malheureusement ce n’est pas donné à tout le monde.